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33 ans déjà que la candidature d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne est pendante devant l’institution. Cela malgré les négociations engagées en 2005, l’accord pouvant réunir les deux parties n’a pas été trouvé. Qu’est-ce qui pourrait bien être à la base de cette division interminable ? Pour cela, cet article soupçonne quelques points qu’il vous présente.
Situation religieuse du pays
Depuis les années 1920, la Turquie est toujours vue comme un état laïc. Cela a été bien amandé dans sa constitution par l’ancien président Kemal Atatürk Mustafa. Mais ceci à changer depuis la venue au pouvoir de Tayyip Erdogan Recep avec son système d’AKP. Ce président turc en collaboration avec ses alliés ne cesse d’initier les actions pouvant réduire le caractère islamique de ses populations. Cependant, ils déclaraient en 2016 l’appartenance de la nation tout entière à l’islam. Une déclaration signée du président de parlement turc. Alors que les dirigeants de cette organisation européenne faisaient la promotion de sa laïcité. Cette accession vient donc tout bouleverser.
Les implications et la situation démographique
L’UE dans ses statuts pèse beaucoup le côté démographique des nations membres. Mais la Turquie étant un pays des plus peuplés, ce facteur joue en partie contre elle. En effet, avec 83 000 000 de populations, elle serait le second pays membre influant si l’accord passait.
La géopolitique
Ankara, bien qu’en étant membre de l’OTAN comme tout autre membre de l’UE, ses profits géopolitiques sont contraires à celle de l’organisation. Cependant, ils s’opposent sur le cas de la Libye, la Syrie et aussi à celui de l’Azerbaïdjan. Sur le fait, le gouvernant turc n’a pas tardé à invectiver les autorités de l’Union européenne. À sa suite, Macron, le président français en a fait les frais. Par extrapolation, l’adhésion est loin d’être actée de sitôt.